Swiss Life Funds (F) Bond Floating Rates : une solution protectrice adaptée au changement de régime des taux d’intérêt

Swiss Life Funds (F) Bond Floating Rates est un fonds Investment Grade euro investi essentiellement en obligations à taux variables, ou floaters, dont les coupons sont indexés sur un taux de référence (l’Euribor 3 mois). « Ce produit a été conçu pour répondre aux changements intervenus dans l’environnement obligataire. La hausse des taux d’intérêt dans un contexte de reflation de l’économie expose les portefeuilles obligataires à un risque de dépréciation. Le recours aux floaters permet de se protéger contre ce risque et constitue donc une alternative particulièrement adaptée à ce contexte de taux » déclare Jean-Michel Nakache, Directeur commercial et marketing institutionnel chez Swiss Life Asset Managers.

En effet, en cas d’évolution haussière des taux d’intérêt sur le marché, les obligations à taux variable ajustent le niveau de leurs coupons. Ce n’est pas le cas des obligations à taux fixe traditionnelles, pour lesquelles la variable d’ajustement aux variations des taux d’intérêt est leur valeur de marché.

Outre la protection qu’il propose aux investisseurs, Swiss Life Funds (F) Bond Floating Rates est un véhicule qui permet à son porteur de s’exposer au marché du crédit. Parmi les sources de valeur ajoutée traditionnelles identifiées sur le marché de la dette privée, celles relatives au choix de l’échéance et à celui de la qualité de l’émetteur sont les piliers sur lesquels repose la gestion du fonds. Par surcroît, les décisions d’investissement qui sont régulièrement prises s’appuient notamment sur des considérations de valeur relative ainsi que d’attractivité du marché primaire.

« Ce fonds de création récente retient l’attention des investisseurs, de plus en plus sensibles à la problématique de hausse des taux d’intérêt. Swiss Life Funds (F) Bond Floating Rates complète notre gamme de produits à taux variables à composante crédit dont Swiss Life Asset Managers s’est fait le spécialiste depuis de nombreuses années » conclut Jean-Michel Nakache.