Juin 2012
, par
Olivier Dacquin
Faute d’une tendance homogène et clairement porteuse, l’immobilier va évoluer sur un marché à multiples vitesses, dont la capacité à résister à un mouvement de correction dépendra des fondamentaux propres aux spécificités de chaque bien. Loin de disqualifier tout projet d’investissement, cette nouvelle donne va focaliser les projets sur leurs seuls fondamentaux économiques. Comme en 2008.