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Immobilier
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Le Premier Ministre prévoit à juste titre de sanctionner les syndics de copropriété qui ne respectent pas le contrat-type, leur proportion demeurant élevée. La réaction de Syneval, courtier en syndic, par la voix de son fondateur Rachid Laaraj...
Depuis le 2 juillet 2015, les syndics sont dans l’obligation de reprendre le contrat-type in extenso imposé par la Loi Alur et n’ont le droit de facturer que les prestations autorisées par ce décret.
Syneval spécialiste de la mise en concurrence du mandat de syndic, a analysé quelque 970 contrats depuis le début de l’année 2017 et il s’avère que 38% d’entre eux ne respectent pas intégralement la trame imposée.
« Le nombre de professionnels ne respectant pas le contrat-type demeure élevé. Il arrive même que certains syndics ajoutent ou suppriment des clauses, alors que cela est strictement interdit » constate Rachid Laaraj, fondateur de Syneval.
Il n’existe pas aujourd’hui de moyens permettant de contrôler chaque contrat de syndic. « Face à cette situation, la proposition du Premier Ministre visant à sanctionner les professionnels qui ne proposent pas un contrat-type conforme est malheureusement inévitable si l’on veut plus de transparence et pouvoir comparer les prestations et tarifs des syndics » conclut Rachid Laaraj.
Les 3 entorses au contrat-type les plus souvent identifiées par SYNEVAL
Next Finance , Mars 2019
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