Juillet 2015
, par
Jean-François Buet
En cet été 2015, l’immobilier résidentiel a probablement touché le fond et pourrait reprendre vigueur, à condition que son principal moteur,
le crédit à bas prix, ne lui fasse pas défaut. Or, l’évolution des taux d’intérêt, liée notamment à l’issue de la crise grecque, reste la grande inconnue.