Mars 2016
, par
Philippe Taboret
Bâle IV irait encore plus loin en obligeant les banques à renforcer de nouveau leurs fonds propres. Face à une telle mesure, celles-ci auraient deux attitudes possibles. La première consisterait à prêter moins et, surtout, à moindre risque, ce qui leur permettrait de titriser leurs créances et de les placer auprès d’investisseurs.